( Photo de l'article et couverture de l'hebdomadaire le journal dans lequel il a été publié)
(imagen del articulo )
CET ARTICLE A ETE PUBLIE PAR
L'HEBOMADAIRE LE JOURNAL DANS SON EDITION DU 18 AU 24 NOVEMBRE 2006.
مقال حول المقابلة الصحفية للضابط المتقاعد محجوب الطوبجي صاحب كتاب ظباط جلا لة الملك اوصاحب الجلالة * وهذا الكتاب ٌيشيد ثيارا ادييا جديدا سمتيه ادب الجبناء
*Les officiers de Sa Majesté
بقلم جواد عاصم courrier : Adressez-nous vos humeurs à : assemjaouad@gmail.com
article:
RABAT
Courriel
littérature des lâches
Courriel
Un nouveau concept : La littérature de la nouvelle opposition.
Les publications de langue française sur le Maroc ont été enrichies ces derniers temps par un livre commis par Tobji (Le Journal n°268). Ce livre inaugure et même développe un nouveau courant littéraire différent de la littérature des prisons et qui peut être appelé "la littérature des lâches" ou "adabou al akhissa" ou "adabou al joubanae"(ajouté par l’auteur). Par "littérature des lâches" on entend genre littéraire écrit par ou pour le compte des personnes à tendance opportuniste qui attendent d'être à l'abri avec leur famille pour pouvoir raconter leur passé ou celui d'un parent ou d'un proche. Cette littérature est le fait surtout d'anciens dignitaires du régime, d'anciens flics ou indics, d'anciens aides de camp ou aides de cons. C'est une littérature qui a une portée historique limitée car elle manque d'objectivité.
Rien ne peut justifier leur silence au moment où ils exerçaient leur fonction. En évoquant les transmissions, Tobji avance (voir Catherine GRACIET présentant le dossier de presse M.Mahjoub TOBJI dans le journal hebdomadaire n°268 du 9 au 15 septembre 2006 présenté par Jaouad Assem voir ce lien mis sur internet pa Jaouad ASSEM par hasard le 18.08.2015 https://fr.scribd.com/doc/275051079/Mahjoub-Tobji-LES-OFFICIERS-DE-SA-MAJESTE-ou-La-litterature-des-laches-Par-Assem-Jaouad-Ex-Officier-de-Reserve-Des-FAR-in-Le-Journal-Hebdomadaire-n ) : << Et quand le roi s'inquiétait de ne pouvoir écouter nos conversations...on lui répondait que c'était l'ennemi qui altérait le réseau...». Les messages entre les militaires étaient en général codés et écrits en morse. Pour recevoir un message, les fréquences de réception doivent correspondre à la fréquence d'émission. Si, du lieu d'émission, vous brouillez la fréquence, tous ceux qui vous reçoivent ne vont rien entendre. Le brouillage d'un poste lointain nécessite d'autres complices et d'autres conditions. Les informations diffusées par l'ennemi via la presse étrangère étaient-elles cachées au chef de l'Etat?
Tout dirigeant qui réussit est supposé avoir bien fait le choix de ses hommes. Il est certain que parmi le staff de Dlimi se trouvaient des hommes qui lui avaient fait les beaux yeux pour être parmi ses collaborateurs. Ceux qui avaient surestimé leurs chances de succès doivent assumer les conséquences de leur choix et ne doivent pas: à la suite de l'échec; se montrer comme victimes du système. Ils sont victimes de leurs choix. Le travail améliore la condition de la femme et celle de l'homme.
La présence de la femme militaire à l'unité Ouhoud a été saluée par la presse internationale. Dire que: «... un certain nombre (de femmes) servirent à dissiper l'ennui...de nos valeureux guerriers» relève de la misogynie. L’auteur aurait pu dire que certains militaires servirent à dissiper l'ennui de nos valeureuses guerrières.
Comment l'interviewé peut-il parler de Ben Barka alors qu'il n'a travaillé qu'après 1980 avec Dlimi, lui-même innocenté par la justice française, et que la DGED n'a été créée qu'après 1972 ?
L'opposition marocaine à l'étranger subit les fluctuations des cycles de l'histoire. Les derniers vétérans de l'opposition progressiste rendent les armes et rentrent au bercail. Hormis le cas des islamistes, l'opposition naissante, si on peut l'appeler ainsi, n'a ni projets sociaux ni rêves ni idéaux à proposer. Elle défend un passé personnel fait de privilèges perdus.
L'histoire se répète avec de légères nuances dues aux contraintes du temps. Bouhmara (homme à l'ânesse) du début du XXème siècle était issu du Makhzen et prétendait être le fils de Moulay Hassan Ier. Les Bouhmara actuels utilisent les médias modernes pour leur combat au lieu des armes à feu "bouhaba" du début du siècle écoulé. Il faut dire que nous sommes à une époque où les ânes ont aussi leur festival.
Décidément, on n'arrête pas le progrès mais il faut de tout pour faire une littérature.
Jaouad ASSEM جواد عاصم
Courriel : Le journal hebdomadaire du 18 au 24 novembre 2006.
Apport conceptuel : Définition de la littérature des lâches par Jaouad ASSEM: Par littérature des lâches, on entend genre littéraire écrit par ou pour le compte des personnes à tendance opportuniste qui attendent d'être à l'abri avec leur famille pour pouvoir raconter leur passé ou celui d'un parent ou d'un proche.
Au Maroc, cette littérature est le fait surtout d'anciens dignitaires du régime, d'anciens flics ou indics, d'anciens aides de camp ou aides de cons. C'est une littérature qui a une portée historique limitée car elle manque d'objectivité. Ceux qui ne peuvent pas écrire eux même leurs histoires peuvent faire appel aux écriveurs.
جواد عاصم صاحب مصطلح جديد وهو أدب الجبناء فهاهو الضابط السابق الذي سكت خلال حياته المهنة وبعد تقاعده واستقراره بفرنسا تقدم إلى كرسي الاعتراف ليتكلم عن الرشوة وتجاوزات عاشها أو عايشها في الجيش وهاهو الموظف السامي الذي انتظر التقاعد ليتكلم عن أبيه الذي غاث فسادا في المغرب أيام الحماية
voir cet article sur : netlog.com
VOIR aussi le lien lancé sur internet par Jaouad ASSEM le 18/08/2015 avant d'apprendre quoi que ce soit sur l'affaire judiciaire en cours en France :
https://fr.scribd.com/doc/275051079/Mahjoub-Tobji-LES-OFFICIERS-DE-SA-MAJESTE-ou-La-litterature-des-laches-Par-Assem-Jaouad-Ex-Officier-de-Reserve-Des-FAR-in-Le-Journal-Hebdomadaire-n
http://jaouad-assem.over-blog.com
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